Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des filet. Sa domicile, bâtie en pierre et de achèvement sinistre, exhalait toujours une odeur d’herbes https://jolie-voyance18328.liberty-blog.com/33676255/la-nuit-des-reliques-et-de-la-voyance