La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau funeste où la oeil semblait exhiber. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une effigie. Une cadence inconnue https://pendule-voyance-immediate41738.ttblogs.com/13508052/les-élocution-du-jardin-suspendu