Dans les ruelles d’Istanbul, au cœur du bazar animé, un marchand du pseudonyme d’Orhan découvrit un objet singulier parmi ses sans précédent acquisitions. Il s’agissait d’un coffret en dessein, noir et adroitement taillé, orné d'arabesques indéchiffrables qui semblaient danser marqué par la clarté des lampes à huile. Aucun souvenir de https://douglasy099kym4.blogsvirals.com/33001295/l-éclipse-des-chroniques