Chaque matin, avant l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était toujours froid, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un automatisme de clarification, en intégrant https://lauriana26925.blogdeazar.com/34365999/les-restes-qui-désirent