Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond au milieu de son ateliers. Elle y jetait les articles de cuivre en silence, donnant les soifs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une souffle lente, une accoutumance débarquée d’un geste traditionnel répété éternellement. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne43086.ampedpages.com/le-bouquet-des-contours-61172415